Annonces de la Semaine du 4 au 10 Février 2024

 

« L’Évangile de ce dimanche nous présente Jésus qui guérit les malades : d’abord la belle-mère de Simon Pierre, qui était alitée avec de la fièvre. La prenant par la main, Il la guérit et la fit se lever ; puis tous les malades de Capharnaüm, éprouvés dans leur corps, leur esprit et leur âme ; Il « guérit beaucoup de malades… et il chassa beaucoup de démons » (Mc 1, 34). Les quatre évangélistes s’accordent à attester que la libération de maladies et d’infirmités en tout genre, constitua, avec la prédication, la principale activité de Jésus dans sa vie publique. En effet, les maladies sont un signe de l’action du Mal dans le monde et dans l’homme, tandis que les guérisons montrent que le Royaume de Dieu, Dieu lui-même, est proche. Jésus Christ est venu vaincre le Mal à sa racine, et les guérisons sont une anticipation de sa victoire, obtenue par sa Mort et sa Résurrection.

Un jour Jésus dit : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades » (Mc 2, 17). En cette circonstance, il se référait aux pécheurs, qu’il est venu appeler et sauver. Mais il demeure vrai que la maladie est une condition typiquement humaine, dans laquelle nous faisons l’intense expérience que nous ne nous suffisons pas à nous-mêmes, mais que nous avons besoin des autres. Dans ce sens, pourrions-nous dire à travers un paradoxe, où la maladie peut être un moment salutaire où l’on peut faire l’expérience de l’attention des autres et accorder une attention aux autres ! Toutefois, celle-ci demeure une épreuve, qui peut devenir également longue et difficile. Quand la guérison n’arrive pas et que les souffrances se prolongent, nous pouvons être comme écrasés, isolés, et alors notre existence désespère et se déshumanise. Comment devons-nous réagir à cette attaque du Mal ? Certainement avec les soins appropriés — au cours des dernières décennies, la médecine a accompli des pas de géant et nous en sommes reconnaissants — mais la Parole de Dieu nous enseigne qu’il existe une attitude décisive et fondamentale pour affronter la maladie : cette attitude est celle de la foi en Dieu, en sa bonté. Jésus le répète toujours aux personnes qu’il guérit : Ta foi t’a sauvé (cf Mc 5, 34.36). Même face à la mort, la foi peut rendre possible ce qui est humainement impossible. Mais la foi en quoi ? En l’amour de Dieu. Voilà la véritable réponse qui vainc radicalement le Mal. De même que Jésus a affronté le Malin par la force de l’amour qui lui venait du Père, ainsi, nous aussi pouvons affronter et vaincre l’épreuve de la maladie en gardant notre cœur plongé dans l’amour de Dieu. Nous connaissons tous des personnes qui ont supporté des souffrances terribles parce que Dieu leur donnait une sérénité profonde. Je pense à l’exemple récent de la bienheureuse Chiara Badano, emportée dans la fleur de l’âge par un mal sans issue : ceux qui allaient lui rendre visite recevaient d’elle lumière et confiance ! Toutefois, dans la maladie, nous avons tous besoin de chaleur humaine : pour réconforter une personne malade, plus que les paroles, c’est la proximité sereine et sincère qui compte. Chers amis, samedi prochain, 11 février, mémoire de la Bienheureuse Vierge Marie de Lourdes, nous célébrerons la Journée mondiale du malade. Faisons-nous aussi comme les personnes au temps de Jésus : présentons-lui spirituellement tous les malades, dans la confiance qu’Il veut et peut les guérir. Et invoquons l’intercession de la Vierge Marie, en particulier pour les situations de grande souffrance et d’abandon. Marie, Santé des malades, prie pour nous ! ». Angelus du Pape Benoît XVI du 05/02/2012


  • Journée des grands-parents, Maison Diocésaine, 45 rue de Brest à Rennes le 08 février 2024 de 09h00 à 16h30
  • Récollection des catéchistes à Saint Pern - Maison mère des petites sœurs des pauvres le 10 février  de 09h30 à 16h30
  • Triduum marial à la Basilique Saint-Sauveur à Rennes, Basilique Saint Sauveur de Rennes, du 09 au 11 février 2024
  • Journée mondiale du malade le dimanche 11 février. Le thème choisi est « De partout on venait à lui ». (MC 1, 45)
  • Appel décisif des catéchumènes adolescents à la Cathédrale Saint-Pierre le 17 février 2024 à 15h00
  • Appel décisif des catéchumènes adultes à St Aubin du Cormier le 18 février 2024 à 10h30
  • Pèlerinage diocésain à Lourdes du dimanche 26 mai au samedi 1er juin 2024 avec Mgr Jean Bondu
  • A l’appel du Pape, chaque clocher est invité à proposer et organiser des temps de prière communautaire par clocher. 

« Le pape François a officiellement donné ce dimanche 21 janvier le coup d'envoi d'une année de prière pour se préparer spirituellement au grand Jubilé qui aura lieu l'an prochain. Le Pape a rappelé (…) que « les prochains mois nous conduiront à l'ouverture de la Porte Sainte par laquelle nous commencerons le Jubilé ». « La redécouverte de la grande valeur et de l'absolue nécessité de la prière » (…) « Je vous demande d'intensifier votre prière pour vivre ce temps de grâce » (…) « Dans le travail apostolique d'un croyant, d'un diacre, d'un prêtre, d'un consacré, d'un évêque, s'il est bien mené, on ressent fortement le besoin de la prière, de l'intercession. L'action seule, bien qu'apostolique, sans la prière, est une affaire d'entreprise. Ce qui donne sens à l'apostolat, c'est la prière » sinon, « nous risquons de devenir une institution purement naturelle et mondaine, avec un agenda politique ». « Si la mondanité spirituelle est dangereuse, c'est « parce qu'elle est un mode de vie qui réduit la spiritualité aux apparences : (…) qui, en réalité, continuent de penser et d'agir selon les modes du monde. » Source : Vaticannews.va


Le Dicastère pour la Cause des Saints a refusé la poursuite de la cause en béatification de Luisa Piccarreta en raison de problèmes doctrinaux. 

La commission doctrinale de la Conférence des évêques de France sur « la diffusion des écrits de Maria Valtorta » : rappelle le « jugement clair du Magistère de l’Église » qui n’a jamais reconnu les écrits de Maria Valtorta comme étant d’inspiration surnaturelle


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