ANNONCES du 16 au 22 février 2020
Pour rencontrer le Père Richard Bernier : du mardi au samedi, de 10h à 12h (téléphoner avant à l’accueil) 02.99.68.03.77 Pour les Obsèques : 06.41.43.01.26 Demande pour le Sacrement de Mariage : 1 an avant | Baptême : le mercredi matin ou sur rdv
SEMAINE
LITURGIQUE
SAMEDI 15 février 18 h 00, Messe en l’église St Martin de Tours (Bazouges S/Hédé) DIMANCHE 16 février 6ème Dimanche du Temps Ordinaire 10 h 30, Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Lundi 17 février Sept Sts Fondateurs de l’Ordre des Servites de la B.V.M.
• 18 h 30 : Messe en l’église St Pierre St Paul (Québriac)
Mardi 18 février Ste Bernadette Soubirous (+16 avril 1879)
• 09 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Mercredi 19 février
• 11 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Jeudi 20 février
• 09 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
• 18 h 00 : Vêpres en l’église Notre Dame de Hédé
Vendredi 21 février
• 14 h 45 : Messe à la Maison Ste Anne (Tinténiac)
De 17 h 45 à 18 h 10 : possibilité de rencontrer un prêtre (échange, réconciliation), église de Tinténiac
• 18 h 30 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
SAMEDI 22 février Fête de la Chaire de St Pierre 18 h 00, Messe en l’église St Symphorien (St Symphorien) DIMANCHE 23 février 7ème Dimanche du Temps Ordinaire 10 h 30, Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Selon les directives diocésaines, une paroisse doit avoir 2 conseils : un pour les affaires économiques et un conseil pastoral pour que le curé puisse exercer sa mission de gouvernement, d’enseignement et de sanctification. Ainsi les membres des conseils vivent leur foi et sont engagés dans la vie de l’Eglise (conformément à Actes 2, 43 : « Ils étaient assidus à l’enseignement des apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières »). La commission liturgique (crée en 2015), s’appuyant sur le Missel, le Concile Vatican II, le magistère (du Pape Pie X au Pape François), la conférence des évêques de France discerne les cantiques propres à notre communauté paroissiale pour qu’ils soient chantables par tous, respectueux du texte liturgique et de la Parole de Dieu, beau, digne, divers (des communautés du renouveau au répertoire classique (Berthier, Deiss…), du grégorien (Concile Vatican II n° 116 ) en passant par des compositions contemporaines. Cette commission, sous la présidence du curé, est composée de personnes qui ont une compétence musicale, liturgique... Ainsi notre communauté a appris de nouveaux cantiques contemporains : en 2014, le Sanctus des Rameaux, « Changez vos cœurs » & « Guéris nos cœurs Seigneur Jésus » en 2015.
Catéchèse
du Pape François sur l’Eucharistie
« Après nous être arrêtés sur les rites d’introduction, nous prenons à présent en considération la liturgie de la Parole, qui est une partie constitutive, car nous nous rassemblons précisément pour écouter ce que Dieu a fait et entend encore faire pour nous. C’est une expérience qui a lieu «en direct» et non par ouï-dire, car «lorsqu’on lit dans l’Eglise la Sainte Ecriture, c’est Dieu lui-même qui parle à son peuple, et c’est le Christ, présent dans sa parole, qui annonce l’Evangile» (Présentation générale du Missel romain, n. 29; cf. Const. Sacrosanctum concilium, 7; 33). Et combien de fois, lorsque la Parole de Dieu est lue, on commente: «Regarde celui-ci..., regarde celle-ci..., regarde le chapeau qu’a mis celle-là: il est ridicule...». Et on commence à faire des commentaires. N’est-ce pas vrai? Doit-on faire des commentaires pendant que la Parole de Dieu est lue? [L’assemblée répond: «Non!»]. Non, parce que si tu bavardes avec les gens, tu n’écoutes pas la Parole de Dieu. Quand on lit la Parole de Dieu dans la Bible — la première lecture, la deuxième, le Psaume responsorial et l’Evangile — nous devons écouter, ouvrir notre cœur, parce que c’est Dieu lui-même qui nous parle et il ne faut pas penser à d’autres choses ou parler d’autres choses. Est-ce clair?... Je vous expliquerai ce qui se passe dans cette liturgie de la Parole. Les pages de la Bible cessent d’être un écrit pour devenir une parole vivante, prononcée par Dieu. C’est Dieu qui, à travers la personne qui lit, nous parle et nous interpelle alors que nous écoutons avec foi. L’Esprit «qui a parlé par les prophètes» (Credo) et a inspiré les auteurs sacrés, fait en sorte que «la parole de Dieu opère vraiment dans les cœurs ce qu’elle fait retentir dans les oreilles» (Lectionnaire, Introd., n. 9). Mais pour écouter la parole de Dieu, il faut également avoir le cœur ouvert pour recevoir la parole dans son cœur. Dieu nous parle et nous l’écoutons, pour ensuite mettre en pratique ce que nous avons entendu. Il est très important d’écouter. Parfois, nous ne comprenons peut-être pas bien, car certaines lectures sont un peu difficiles. Mais Dieu nous parle tout de même d’une autre manière. [Il faut rester] en silence et écouter la Parole de Dieu. N’oubliez pas cela. A la Messe, quand les lectures commencent, écoutons la Parole de Dieu. Nous avons besoin de l’écouter! C’est en effet une question de vie, comme le rappelle bien l’expression marquante qui dit que «ce n’est pas de pain seul que vivra l’homme, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu» (Mt 4, 4). La vie que nous donne la Parole de Dieu. C’est dans ce sens que nous parlons de la liturgie de la Parole comme de la «table» que le Seigneur dresse pour nourrir notre vie spirituelle. C’est une table abondante que celle de la liturgie, qui puise largement aux trésors de la Bible (cf. SC, n. 51), que ce soit dans l’Ancien ou le Nouveau testament, car dans ceux-ci est annoncé par l’Eglise l’unique et identique mystère du Christ (cf. Lectionnaire, Introd., n. 5). Pensons à la richesse des lectures bibliques offertes par les trois cycles dominicaux qui, à la lumière des Evangiles synoptiques, nous accompagnent au cours de l’année liturgique: une grande richesse. Je désire également rappeler ici l’importance du Psaume responsorial, dont la fonction est de favoriser la méditation de ce qui a été entendu pendant la lecture qui le précède. Il est bon que le Psaume soit valorisé par le chant, au moins dans le refrain (cf. PGMR, n. 61; Lectionnaire, Introd., 19-22). La proclamation liturgique des mêmes lectures, avec les chants tirés des Saintes Ecritures, exprime et favorise la communion ecclésiale, en accompagnant le chemin de tous et de chacun. On comprend donc pourquoi certains choix subjectifs, comme l’omission de lectures ou leur remplacement par des textes non bibliques, sont interdits. J’ai entendu dire que certains, s’il y a une nouvelle, lisent le journal, parce que c’est la nouvelle du jour. Non! La Parole de Dieu est la Parole de Dieu! Nous pouvons lire le journal après. Mais là, on doit lire la Parole de Dieu. C’est le Seigneur qui nous parle. Remplacer cette Parole par d’autres choses appauvrit et compromet le dialogue entre Dieu et son peuple en prière. Au contraire, [on demande] la dignité de l’ambon et l’utilisation du Lectionnaire, la disponibilité de bons lecteurs et psalmistes. Mais il faut chercher de bons lecteurs! Ceux qui savent lire, pas ceux qui lisent [en déformant les mots] et font que l’on ne comprend rien. C’est ainsi. De bons lecteurs. Ils doivent se préparer et faire un essai avant la Messe, pour bien lire. Cela crée un climat de silence réceptif. Nous savons que la Parole du Seigneur est une aide indispensable pour ne pas nous égarer, comme le reconnaît bien le Psalmiste qui, s’adressant au Seigneur, confesse: «Une lampe sur mes pas, ta parole, une lumière sur ma route» (Sal 119, 105). Comment pourrions-nous affronter notre pèlerinage terrestre, avec ses difficultés et ses épreuves, sans être régulièrement nourris et éclairés par la Parole de Dieu qui retentit dans la liturgie? Certes, il ne suffit pas d’entendre avec les oreilles, sans accueillir dans le cœur la semence de la Parole divine, en lui permettant de porter du fruit. Rappelons-nous de la parabole du semeur et des différents résultats selon les divers types de terrain (cf. Mc 4, 14-20). L’action de l’Esprit, qui rend la réponse efficace, a besoin de cœurs qui se laissent travailler et cultiver, pour que ce que l’on écoute pendant la Messe passe dans la vie quotidienne, selon l’admonestation de l’apôtre Jacques: «Mettez la Parole en pratique. Ne soyez pas seulement des auditeurs qui s’abusent eux-mêmes!» (Jc 1, 22). La Parole de Dieu accomplit un chemin en nous. Nous l’écoutons avec nos oreilles et elle passe dans notre cœur; elle ne reste pas dans les oreilles, elle doit aller au cœur; et du cœur elle passe aux mains, aux bonnes œuvres. Tel est le parcours que fait la Parole de Dieu: des oreilles au cœur et aux mains. Apprenons ces choses». (…) « Le dialogue entre Dieu et son peuple, développé dans la liturgie de la Parole de la Messe, atteint son point culminant dans la proclamation de l’Evangile. Il est précédé par le chant de l’Alleluia — ou encore, pendant le carême, par une autre acclamation — avec laquelle «l’assemblée des fidèles accueille et salue le Seigneur qui va leur parler dans l’Evangile»[1]. De même que les mystères du Christ illuminent la révélation biblique tout entière, ainsi, dans la liturgie de la Parole, l’Evangile constitue la lumière pour comprendre le sens des textes bibliques qui le précèdent, tant de l’Ancien que du Nouveau Testament. En effet, «le Christ est le centre et la plénitude de toute l’Ecriture et de toute la célébration liturgique»[2]. Au centre il y a toujours Jésus Christ, toujours. C’est pourquoi la liturgie elle-même distingue l’Evangile des autres lectures et l’entoure d’un honneur et d’une vénération particuliers[3]. En effet, sa lecture est réservée au ministre ordonné, qui termine en baisant le livre; on se met à l’écoute en se levant et en faisant le signe de la croix sur le front, la bouche et la poitrine; les cierges et l’encens honorent le Christ qui, à travers la lecture évangélique, fait retentir sa parole concrète. Dans ces signes, l’assemblée reconnaît la présence du Christ qui lui adresse la «bonne parole», qui convertit et transforme. C’est un discours direct qui a lieu, comme l’attestent les acclamations par lesquelles on répond à la proclamation: «Gloire à toi, Seigneur» et «Louange à toi, Seigneur Jésus». Nous nous levons pour écouter l’Evangile, c’est le Christ qui nous parle là. Et c’est pour cela que nous sommes attentifs, parce que c’est un dialogue direct. C’est le Seigneur qui nous parle. Donc, dans la Messe, nous ne lisons pas l’Evangile pour savoir comment les choses se sont passées, mais nous écoutons l’Evangile pour prendre conscience de ce que Jésus a fait et dit un jour; que cette Parole est vivante, la Parole de Jésus qui est dans l’Evangile est vivante et arrive à mon cœur. C’est pour cela qu’écouter l’Evangile est si important, avec le cœur ouvert, parce que c’est une Parole vivante. Saint Augustin écrit que «la bouche du Christ est l’Evangile. Il règne au ciel, mais il ne cesse de parler sur terre»[4]. S’il est vrai que dans la liturgie, «le Christ annonce encore l’Evangile»[5], il en découle que, en participant à la Messe, nous devons lui donner une réponse. Nous écoutons l’Evangile et nous devons donner une réponse dans notre vie. » (…) Catéchèse du Pape François (31/01 & 07/02/2018)
PAROISSE
- Répétition de la chorale paroissiale : mercredi 19 février à 20 h à la Bergerie (les personnes qui souhaitent rejoindre la chorale sont les bienvenues)
- Enseignement sur l’Eglise : Mgr Joly a donné 3 catéchèses sur l’Eglise. La 1ère catéchèse de Mgr Joly en vidéo sur « l’Eglise, corps du Christ » sera diffusé le vendredi 21/02 à 20 h 15 à la Bergerie. Séance ouverte à ceux et celles qui veulent approfondir leur foi, qui rendent un service paroissial, qui cherchent et se questionnent, qui sont engagés dans une activité dans la paroisse pour mieux être au service de l’annonce du Christ Jésus. « Est-ce obligatoire ? Non, c’est vital ! »
- Inauguration et bénédiction de l’orgue de Tinténiac : dimanche 8 mars sous la présidence de notre archevêque Mgr Pierre d’Ornellas. Bénédiction et Messe à 10 h 30. 15 h : Concert inaugural dans l’après-midi par Véronique Le Guen | 17 h : Office des Vêpres
Propositions
de lecture pour devenir des disciples-missionnaires (ou
pour offrir)
:
- Se remettre à vivre pour Dieu : méditation sur l'avenir de l'Eglise du Pape émérite Benoît XVI, édition « Presse de la Renaissance », décembre 2019 | 10 €
- Dans l’église de Tinténiac, à votre disposition, des feuillets à emporter pour méditer et réfléchir sur différents thèmes.
Nouvelle Traduction du Missel Romain : « Consubstantiel au Père, et par lui tout a été fait.»
"Ce que pointe Jacques Maritain (et, avec lui, beaucoup d’autres catholiques), ce n’est pas que la traduction « de même nature » est fausse; c’est qu’elle est incomplète. En latin, comme en grec, la profession de foi du concile de Nicée affirme que le Fils est « consubstantiel » au Père. Or, cela désigne une unité beaucoup plus forte que le « de même nature ». Un père et un fils humains sont « de même nature »: ils partagent la même nature humaine, mais ils sont évidemment deux hommes bien distincts. Le Père et le Fils (et, d’ailleurs, le Saint-Esprit aussi), quant à eux, non seulement partagent la même nature divine, mais sont un seul Dieu. Si le Père et le Fils étaient de même nature, mais non consubstantiels, les musulmans auraient raison de croire que les chrétiens sont polythéistes. Mais, c’est faux: nous croyons en un seul Dieu (c’est même comme cela que commence notre profession de foi).