ANNONCES du 01 au 07 mars 2020
Pour rencontrer Père Richard Bernier : du mardi au samedi, de 10h à 12h (téléphoner avant à l’accueil) 02.99.68.03.77 Pour les Obsèques : 06.41.43.01.26 Demande pour le Sacrement de Mariage : 1 an avant | Baptême : le mercredi matin ou sur rdv
Pour votre méditation | oraison : extrait de la Parole de Dieu en St Jacques (3, 13 suivants)
SEMAINE
LITURGIQUE
SAMEDI 29 février 18 h 00 : Messe en l’église St Gondran (St Gondran) DIMANCHE 1er Mars 1er Dimanche de Carême 09 h 55 : Office des Laudes en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac) 10 h 30 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac) 18 h 30 : Messe en l’église de l’Assomption (Hédé)
Lundi 2
mars
•
18 h 30 : Messe
en l’église St Pierre St Paul (Québriac)
Mardi 3
mars
• 09 h 00 : Messe
en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Mercredi
4 mars
•
11 h 00 : Messe en l’église
de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Jeudi 5
mars
• 09
h 00 : Messe en l’église
de la Sainte Trinité (Tinténiac)
• 18
h 00 : Vêpres en l’église Notre Dame de Hédé Vendredi
6 mars
•
14 h 45 : Messe à la Maison Ste Anne (Tinténiac)
• 17
h 00 : Chemin de Croix en l’église des Trois Marie (Cardroc) • 18
h 30 : Messe en l’église
de la Sainte Trinité (Tinténiac) suivie de l’Adoration
DIMANCHE
8 Mars 2ème
Dimanche de Carême 10
h 30, Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Pour votre méditation | oraison : extrait de la Parole de Dieu en St Jacques (3, 13 suivants)
« Bien-aimés, quelqu’un, parmi vous, a-t-il la sagesse et le savoir ? Qu’il montre par sa vie exemplaire que la douceur de la sagesse inspire ses actes. Mais si vous avez dans le cœur la jalousie amère et l’esprit de rivalité, ne vous en vantez pas, ne mentez pas, n’allez pas contre la vérité. Cette prétendue sagesse ne vient pas d’en haut ; au contraire, elle est terrestre, purement humaine, démoniaque. Car la jalousie et les rivalités mènent au désordre et à toutes sortes d’actions malfaisantes. Au contraire, la sagesse qui vient d’en haut est d’abord pure, puis pacifique, bienveillante, conciliante, pleine de miséricorde et féconde en bons fruits, sans parti pris, sans hypocrisie. C’est dans la paix qu’est semée la justice, qui donne son fruit aux artisans de la paix. D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces désirs qui mènent leur combat en vous-mêmes ? Vous êtes pleins de convoitises et vous n’obtenez rien, alors vous tuez ; vous êtes jaloux et vous n’arrivez pas à vos fins, alors vous entrez en conflit et vous faites la guerre. Vous n’obtenez rien parce que vous ne demandez pas ; vous demandez, mais vous ne recevez rien ; en effet, vos demandes sont mauvaises, puisque c’est pour tout dépenser en plaisirs. Adultères que vous êtes ! Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu. (…) Soumettez-vous donc à Dieu, et résistez au diable : il s’enfuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et lui s’approchera de vous. Pécheurs, enlevez la souillure de vos mains ; esprits doubles, purifiez vos cœurs. Reconnaissez votre misère, prenez le deuil et pleurez ; que votre rire se change en deuil et votre joie en accablement. Abaissez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera. »
Carême
2020
« Frères et sœurs, nous entrons aujourd’hui en Carême, temps pendant lequel nous allons suivre Jésus qui se retira 40 jours au désert, tenté par le diable. Le désert est le lieu qui nous éloigne du vacarme qui nous entoure pour faire place, en nous, à la Parole de Dieu. On y retrouve l’intimité du Seigneur qui parle dans le silence. Le Carême est donc le temps propice pour éteindre la télévision et ouvrir la Bible, le temps de renoncer aux paroles inutiles, aux bavardages, et de s’adresser au Seigneur. Nous appelant au désert, Jésus nous invite à prêter attention à ce qu’il nous dit. Faisons un effort, dans la prière, pour entendre sa voix qui nous parle, la voix de la conscience et du bien.
Le désert met en lumière les inclinations de notre cœur et nos duplicités ; il n’est pas un lieu de mort mais de vie, car dialoguer en silence avec Dieu nous redonne vie. Au désert, lieu de l’essentiel, nous apprenons à renoncer aux choses vaines et superflues et à chercher la beauté d’une vie plus simple. Le désert nous conduit aussi vers tous ceux qui, contraints de se taire, demande en silence notre secours » Catéchèse du Pape François du 26/02/2020
[Retrouvez le message du Saint Père pour le Carême 2020, feuillet bleu]
CATECHESE
DU PAPE FRANÇOIS SUR L’EUCHARISTIE
« Nous
poursuivons la catéchèse sur la Messe. A la liturgie de la Parole —
sur laquelle je me suis arrêté au cours des dernières catéchèses
— fait suite l’autre partie constitutive de la Messe, qui est la
liturgie eucharistique. Dans celle-ci, à travers les saints signes,
l’Eglise
rend continuellement présent le Sacrifice de la nouvelle alliance
scellée par Jésus sur l’autel de la Croix
(cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. Sacrosanctum Concilium, n. 47).
L’autel
de la Croix a été le premier autel chrétien,
et lorsque nous nous approchons de l’autel pour célébrer la
Messe, notre mémoire va à l’autel de la Croix, où a été
accompli le premier sacrifice. Le prêtre, qui au cours de la Messe
représente le Christ, accomplit ce que le Seigneur lui-même fit et
confia aux disciples lors de la Dernière Cène: il prit le pain et
la coupe, rendit grâce, les donna aux disciples, en disant: «Prenez,
mangez... buvez : ceci est mon corps... ceci est la coupe de mon sang.
Vous ferez cela en mémoire de moi». Obéissant
au commandement de Jésus, l’Eglise a organisé la liturgie
eucharistique en moments qui correspondent aux paroles et aux gestes
qu’Il a accomplis la veille de sa Passion. Ainsi,
dans la préparation des dons sont apportés à l’autel le pain et
le vin, c’est-à-dire les éléments que le Christ a pris dans ses
mains. Dans la Prière eucharistique, nous rendons grâce à Dieu
pour l’œuvre de la rédemption et les dons offerts deviennent le
Corps et le Sang de Jésus Christ. Suivent
la fraction du Pain et la communion, à travers lesquels nous
revivons l’expérience des apôtres qui reçurent les dons
eucharistiques des mains du Christ lui-même (cf. Présentation
générale du Missel romain, n. 72). Au premier geste de Jésus : «il
prit le pain et la coupe de vin»
correspondent donc la préparation des dons. C’est la première
partie de la liturgie eucharistique. Il est bon que ce soit les
fidèles qui présentent au prêtre le pain et le vin, parce qu’ils
signifient l’offre spirituelle de l’Eglise rassemblée en ce lieu
pour l’Eucharistie. Il est beau que ce soit précisément les
fidèles qui apportent à l’autel le pain et le vin. Bien
qu’aujourd’hui, «les
fidèles n’apportent plus, comme autrefois, du pain et du vin de
chez eux, ce rite de l’apport des dons garde sa valeur et sa
signification spirituelle»
(ibid., n. 73). Et
à cet égard, il est significatif que, en ordonnant un nouveau
prêtre, l’évêque, en lui remettant le pain et le vin, dise : "Reçois
les offrandes du peuple saint pour le sacrifice eucharistique"
(Pontifical romain - Ordination des évêques, des prêtres et des
diacres). Le peuple de Dieu qui apporte l’offrande, le pain et le
vin, la grande offrande pour la Messe ! Donc,
dans les
signes du pain et du vin, le peuple fidèle place son offrande dans
les mains du prêtre, qui la dépose sur l’autel du
Seigneur, «qui
est le centre de toute la liturgie eucharistique» (PGMR,
n. 73). C’est-à-dire que le
centre de la Messe est l’autel, et l’autel est le Christ ; il faut
toujours regarder l’autel qui est le centre de la Messe. Dans
«le
fruit de la terre et du travail de l’homme»
est donc apporté l’engagement
des fidèles à faire d’eux-mêmes, obéissant à la Parole divine,
un «sacrifice agréable à Dieu le Père tout-puissant», «pour le
bien de toute sa sainte Eglise».
Ainsi, «la
vie des fidèles, leur louange, leur souffrance, leur prière, leur
travail, sont unis à ceux du Christ et à sa totale offrande, et
acquièrent ainsi une valeur nouvelle»
(Catéchisme de l’Eglise catholique, n. 1368). Certes,
notre
offrande est peu de chose, mais le Christ a besoin de ce peu. Il nous
demande peu, le Seigneur, et nous donne tant.
Il nous demande peu. Il nous demande, dans la vie ordinaire, de la
bonne volonté ; il nous demande un cœur ouvert ; il nous demande la
volonté d’être meilleurs pour accueillir Celui qui s’offre
lui-même à nous dans l’Eucharistie ; il nous demande ces offrandes
symboliques qui deviendront ensuite Son corps et Son sang. Une
image de ce mouvement oblatif de prière est représenté par
l’encens
qui, consumé dans le feu, libère une fumée parfumée qui monte
vers le ciel: encenser les offrandes,comme on le fait les
jours de fête, encenser la croix, l’autel, le prêtre et le peuple
sacerdotal manifeste visiblement le lien d’offrande qui unit toutes
ces réalités au sacrifice du Christ (cf. PGMR, n. 75). Et
ne pas oublier : il y a l’autel qui est le Christ, mais toujours en
référence au premier autel qui est la Croix, et sur l’autel qui
est le Christ nous apportons le peu que sont nos dons, le pain et le
vin, qui deviendront ensuite beaucoup : Jésus lui-même qui se donne
à nous.
Et tout cela est ce qu’exprime également la prière sur les
offrandes. En elle, le prêtre demande à Dieu d’accepter les dons
que l’Eglise lui offre, en invoquant le fruit de l’admirable
échange entre notre pauvreté et sa richesse. Dans
le pain et dans le vin, nous lui présentons l’offrande de notre
vie, afin qu’elle soit transformée par l’Esprit Saint dans le
sacrifice du Christ et qu’elle devienne en Lui une seule offrande
spirituelle agréable au Père. Tandis que se conclut ainsi la
préparation des dons, on se prépare à la Prière eucharistique
(cf. ibid., n. 77). Que la spiritualité du don de soi, que ce moment de la Messe
nous enseigne, puisse illuminer nos journées, les relations avec les
autres,
les choses que nous faisons, les souffrances que nous rencontrons, en
nous aidant à construire la cité terrestre à la lumière de
l’Evangile.» Catéchèse
du Pape François (28/02/2018)
PAROISSE
- Equipe de préparation et d’animation de la liturgie dominicale (cf. calendrier du 15/01) 2ème Dimanche de Carême (8/03) : organistes, chantres, chorale 3ème dimanche de Carême (15/03) : Equipe de Québriac 4ème Dimanche de Carême (22/03) : Equipe de Tinténiac 1 5ème Dimanche de Carême (29/03) : Equipe des jeunes
- Répétition de la chorale paroissiale : Lundi 2 mars et Mercredi 4 mars à 20 h 00, à la Bergerie
- Rencontre des Doyens : vendredi 6 mars. Père Richard Bernier sera donc absent.
- Inauguration et bénédiction de l’orgue de Tinténiac le dimanche 8 mars : Bénédiction de l’orgue à 10 h 30 lors de la Messe présidée par notre archevêque Mgr Pierre d’Ornellas. (pas de messe à 18 h 00 le samedi 7 mars) Concert inaugural : 15 h par Véronique Le Guen Office des Vêpres : 17 h
- 3ème étape de la première des communions : Dimanche 8 Mars : RDV à 9h30 à la Bergerie, suivie de la célébration.
- 350ème Anniversaire de la Fondation du Séminaire St Yves (Rennes) : samedi 7 mars et dimanche 8 mars
- Conférence de Carême de ND de Paris : le dimanche sur France Culture ou sur KTO.com à 16 h 30 (thème : l’Eglise) Par le Père Guillaume de Menthière, théologien.
Denier de l’Eglise : Merci pour votre grande générosité de l’an passé ! Notre diocèse commence sa nouvelle campagne. Osons appeler de nouveaux donateurs !
« Qu'est que le denier ? Créé par l’Église catholique en France après la séparation des Églises et de l’État en 1905, le « denier du clergé » a été institué pour permettre le traitement des prêtres qui était jusqu’alors pris en charge par l’État qui ne peut plus subventionner les cultes. Cette collecte auprès des fidèles s’est ensuite appelée « denier du culte », terme encore souvent employé, avant de devenir en 1989 le « denier de l’Église », et désormais le « Denier ». Seul votre don au Denier permet à l’Église de mener à bien sa mission, car elle ne reçoit de subvention ni de l’État, ni du Vatican » (source : diocèse de Rennes)
Propositions
de lecture pour devenir des disciples-missionnaires (ou
pour offrir)
: Se
remettre à vivre pour Dieu : méditation sur l'avenir de l'Eglise
du Pape émérite Benoît XVI, édition « Presse de la
Renaissance », décembre 2019 | 10 € Méditations
de carême avec le Pape François
| 18,00 € Edition
« Parole et Silence » Retrouvez
d’autres livres sur www.paroleetsilence.com
VATICAN
Droit
Canon (droit de l’Eglise, ou « règlement intérieur) :
(…)
« L’invitation de Benoît XVI dans la Lettre aux séminaristes
est plus que jamais actuelle, mais aussi valide pour tous les fidèles
:
« Apprenez aussi à comprendre et – j’ose le dire – à aimer
le droit canonique dans sa nécessité intrinsèque et dans les
formes de son application pratique : une société sans droit serait
une société privée de droits. Le droit est une condition de
l’amour »
(n. 5). Faire connaître et appliquer les lois de l’Église n’est
pas une entrave à l’ « efficacité » pastorale présumée de qui
veut résoudre les problèmes sans le droit, mais la garantie de la
recherche de solutions non arbitraires, mais vraiment justes et, par
conséquent, vraiment pastorales. En évitant les solutions
arbitraires, le droit devient un rempart efficace pour défendre les
plus petits et les pauvres, un bouclier protecteur de ceux qui
risquent d’être victimes des puissants du moment. Nous voyons
aujourd’hui dans ce contexte de guerre mondiale par morceaux, nous
voyons combien le droit est toujours absent, toujours. Les dictatures
naissent et se développent sans droit. Dans l’Église, il ne peut
en être ainsi (…) »
Extrait
du Discours du Pape François du 21/02/2020