ANNONCES du 09 au 15 février 2020
Pour rencontrer le Père Richard Bernier : du mardi au samedi, de 10 h à 12 h (téléphoner avant à l’accueil 02.99.68.03.77)) Pour les Obsèques : 06.41.43.01.26 Demande pour le Sacrement de Mariage : 1 an avant | Baptême : le mercredi matin ou sur rdv
SAMEDI 8 février 18 h 00, Messe en l’église Les Trois Marie (Cardroc) DIMANCHE 9 février 5ème Dimanche du Temps Ordinaire 10 h 30, Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Lundi 10 février St Scholastique, moniale au Mont-Cassin (+547)
• 18 h 30 : Messe en l’église St Pierre St Paul (Québriac)
Mardi 11 février Notre Dame de Lourdes
• 09 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Mercredi 12 février
• 11 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Jeudi 13 février
• 09 h 00 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
• 18 h 00 : Vêpres en l’église Notre Dame de Hédé
Vendredi 14 février St Cyrille et St Méthode, évêques, co-patrons de l’Europe
• 16 h 45 : Messe à l’E.H.P.A.D (Hédé)
De 17 h 45 à 18 h 10 : possibilité de rencontrer un prêtre (échange, réconciliation), église de Tinténiac
• 18 h 30 : Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
SAMEDI 15 février 18 h 00, Messe en l’église St Martin de Tours (Bazouges S/Hédé) DIMANCHE 16 février 6ème Dimanche du Temps Ordinaire 10 h 30, Messe en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
Méditons avec le Pape François :
«C'est une grâce quand le jaloux, la jalouse, est confronté(e) à une réalité qui fait éclater cette bulle de savon qu'est son vice de jalousie ou d'envie», affirme le Pape qui nous invite à regarder en nous-mêmes, quand «une personne nous est antipathique et que nous ne l’aimons pas». Et de nous demander : «qu’y-a-t-il en moi ? Y-a-t-il le ver de la jalousie qui grandit, parce que cette personne possède quelque chose que je n'ai pas ou bien y-a-t-il une colère cachée ?». Nous devons, et c'est le conseil du Souverain Pontife, «protéger notre cœur de cette maladie, de ce bavardage avec soi-même, qui fait grossir cette bulle de savon, qui n'a certes aucune consistance, mais qui fait tellement mal».
Et même lorsque quelqu'un vient nous voir «pour parler de l'autre», nous devons lui faire comprendre que, souvent, il ne parle pas avec sérénité, mais «avec passion», et dans cette passion «il y a le mal de l'envie et le mal de la jalousie», qui sont des germes de guerre. Le Pape invite donc à la prudence face à cette jalousie qui pousse à entrer en rivalité avec l'autre, dans la famille même, sur le lieu de travail ou dans le quartier ; «demandons au Seigneur d'avoir un cœur (…) transparent qui ne cherche que la justice et la paix. Un cœur amical, qui ne veut tuer personne, car la jalousie et l'envie tuent».
Catéchèse
du Pape François sur l’Eucharistie
« Nous
prenons aujourd’hui en considération, dans le contexte des rites
d’introduction, l’acte pénitentiel. Dans sa sobriété, celui-ci
favorise l’attitude avec laquelle se disposer à célébrer
dignement les saints mystères, c’est-à-dire en reconnaissant nos
péchés devant Dieu et nos frères, en reconnaissant que nous sommes
pécheurs. En effet, l’invitation
du prêtre s’adresse à toute la communauté en prière, parce que
nous sommes tous pécheurs. Que
peut donner le Seigneur à celui qui a le cœur plein de lui-même,
de son propre succès? Rien, parce que le présomptueux est incapable
de recevoir le pardon, rassasié comme il l’est de sa prétendue
justice.
Pensons à la parabole du pharisien et du publicain, où seul le
second — le publicain — revient chez lui justifié, c’est-à-dire
pardonné (cf. Lc 18, 9-14). Celui qui est conscient de ses propres
misères et qui baisse les yeux avec humilité, sent se poser sur lui
le regard miséricordieux de Dieu. Nous savons par expérience que
seul celui qui sait reconnaître ses erreurs et demander pardon
reçoit la compréhension et le pardon des autres. Ecouter
en silence la voix de la conscience permet de reconnaître que nos
pensées sont éloignées des pensées divines, que nos paroles et
nos actions sont souvent mondaines, c’est-à-dire qu’elles ne
sont guidées que par des choix contraires à l’Evangile.
C’est pourquoi, au début de la Messe, nous accomplissons de
manière communautaire l’acte pénitentiel à travers une formule
de confession générale, prononcée à la première personne du
singulier. Chacun confesse à Dieu et à ses frères d’avoir
«péché, en parole, par action et par omission». Oui, aussi
par omission, c’est-à-dire d’avoir
négligé de faire le bien que j’aurais pu faire. Nous
nous sentons souvent de braves personnes parce que — disons-nous —
«je n’ai fait de mal à personne». En réalité, il ne suffit pas
de ne pas faire de mal à son prochain, il faut choisir de faire le
bien en saisissant les occasions pour rendre un bon témoignage du
fait que nous sommes des disciples de Jésus. Il est bon de souligner
que nous confessons aussi bien à Dieu qu’à nos frères que nous
sommes pécheurs: cela nous aide à comprendre la dimension du péché
qui, alors qu’il nous sépare de Dieu, nous divise également de
nos frères et inversement. Le péché coupe: il coupe la relation
avec Dieu et il coupe la relation avec nos frères, la relation dans
la famille, dans la société, dans la communauté: le péché coupe
toujours, il sépare, il divise. Les
mots que nous prononçons avec la bouche sont accompagnés par le
geste de se frapper la poitrine, en reconnaissant que j’ai péché
précisément par ma faute, et non par la faute des autres.
Il arrive en effet souvent que, par peur ou par honte, nous pointions
le doigt pour accuser les autres. Cela coûte d’admettre d’être
coupables, mais cela nous fait du bien de le confesser avec
sincérité. Confesser
ses propres péchés. Je me souviens d’une anecdote, qu’un
missionnaire âgé racontait, à propos d’une femme qui est allée
se confesser et qui a commencé à raconter les fautes de son mari;
ensuite, elle a poursuivi en racontant les fautes de sa belle-mère
et ensuite les péchés de ses voisins. A un certain moment, le
confesseur lui a dit: «Mais dites-moi, Madame: vous avez fini? –
Très bien: vous avez fini avec les péchés des autres. Maintenant,
commencez à dire les vôtres». Dire
ses propres péchés!
Après la confession du péché, nous supplions la Bienheureuse
Vierge Marie, les anges et les saints de prier le Seigneur pour nous.
En cela aussi, la
communion des saints est précieuse:
c’est-à-dire que l’intercession de ces «amis et modèles de
vie» (Préface du 1er novembre) nous soutient sur le chemin vers la
pleine communion avec Dieu, quand le péché sera définitivement
anéanti. Outre le «Je confesse», on peut accomplir l’acte
pénitentiel avec d’autres formules, par exemple: «Seigneur,
accorde-nous ton pardon / Nous avons péché contre toi / Montre-nous
ta miséricorde» (cf. Ps 123, 3; 85, 8; Jr 14, 20). Le dimanche, en
particulier, on peut accomplir la bénédiction et l’aspersion de
l’eau en mémoire du baptême (cf. Présentation générale du
Missel romain, n. 51), qui efface tous les péchés. Il est aussi
possible, comme partie de l’acte pénitentiel, de chanter
le Kyrie eléison:
avec une antique expression grecque, nous acclamons le Seigneur —
Kyrios — et nous implorons sa miséricorde (ibid., n. 52).
L’Ecriture Sainte nous offre de lumineux exemples de figures
«pénitentes» qui, en revenant en elle-même après avoir commis le
péché, trouvent le courage d’ôter leur masque et de s’ouvrir à
la grâce qui renouvelle le cœur. Pensons
au roi David et aux paroles qui lui sont attribuées dans le Psaume:
«Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour, selon ta grande
miséricorde, efface mon péché» (51, 3). Pensons au fils prodigue
qui revient auprès de son père; ou à l’invocation du publicain:
«Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis!» (Lc 18, 13). Pensons
également à saint Pierre, à Zacchée, à la femme samaritaine. Se
mesurer avec la fragilité de l’argile dont nous sommes façonnés
est une expérience qui nous fortifie: alors qu’elle nous place en
face de notre faiblesse, elle ouvre notre cœur pour invoquer la
miséricorde divine qui transforme et convertit. Et c’est cela que
nous accomplissons dans l’acte pénitentiel au début de la Messe.
(…)C’est précisément de
la rencontre entre la pauvreté humaine et la miséricorde divine que
prend vie la gratitude exprimée dans le
«Gloria»,
«une hymne très ancienne et vénérable par laquelle l’Eglise,
rassemblée dans l’Esprit Saint, glorifie Dieu le Père ainsi que
l’Agneau qu’elle supplie» (Présentation générale du missel
romain, n. 53). Le
début de cette hymne «Gloire à Dieu au plus haut des cieux»
reprend le chant des Anges à la naissance de Jésus à Bethléem,
annonce joyeuse de l’union entre le ciel et la terre. Ce chant nous
touche nous aussi, qui sommes recueillis en prière: «Gloire à Dieu
au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu’il aime». Après
le «Gloria», ou encore, en l’absence de celui-ci, immédiatement
après l’acte de pénitence, la prière revêt une forme
particulière dans l’oraison
appelée «collecte»,
au moyen de laquelle est exprimé le caractère propre de la
célébration, qui varie selon les jours et les temps de l’année
(cf. ibid., n. 54). Avec
l’invitation «prions»,
le prêtre exhorte le peuple à se recueillir avec lui dans un moment
de silence, afin de prendre conscience d’être en présence de Dieu
et de faire ressortir, chacun dans son cœur, les intentions
personnelles avec lesquelles il participe à la Messe (cf. ibid., n.
54). Le
prêtre dit: «prions»; puis a lieu un moment de silence, et chacun
pense aux choses dont il a besoin, qu’il veut demander, dans la
prière. Le
silence ne se réduit pas à l’absence de paroles, mais signifie se
disposer à écouter d’autres voix:
celle de notre cœur et surtout, la voix de l’Esprit Saint. Dans la
liturgie, la nature du silence sacré dépend du moment où il a
lieu: «Pendant l’acte pénitentiel et après l’invitation à
prier, chacun se recueille; après une lecture ou l’homélie, on
médite brièvement ce qu’on a entendu; après la communion, le
silence permet la louange et la prière intérieure» (ibid., n. 45).
Donc, avant la prière initiale, le
silence aide à nous recueillir en nous-mêmes et à penser à la
raison pour laquelle nous sommes là.
D’où l’importance d’écouter notre âme pour l’ouvrir
ensuite au Seigneur. Peut-être
venons-nous de connaître des jours de fatigue, de joie, de douleur,
et nous voulons le dire au Seigneur, invoquer son aide, demander
qu’il soit proche de nous; peut-être avons-nous des parents et des
amis malades ou qui traversent des périodes difficiles; peut-être
désirons-nous confier à Dieu le destin de l’Eglise et du monde.
C’est à cela que sert le bref silence avant que le prêtre,
recueillant les intentions de chacun, ne récite à haute voix à
Dieu, au nom de tous, la prière commune qui conclut les rites
d’introduction, en faisant précisément la «collecte» des
intentions individuelles. Je
recommande vivement aux prêtres d’observer ce moment de silence et
de ne pas se presser: «prions», et que l’on fasse silence. Je
recommande cela aux prêtres. Sans
ce silence, nous risquons de négliger le recueillement de l’âme.
Le prêtre récite cette supplique, cette prière de collecte, les
bras ouverts, c’est la position de l’orant, adoptée par les
chrétiens depuis les premiers siècles — comme en témoignent les
fresques des catacombes romaines — pour imiter le Christ les bras
ouverts sur le bois de la croix. Et là, le Christ est l’orant et
dans le même temps la prière! Dans
le crucifié, nous reconnaissons le prêtre qui offre à Dieu le
culte qu’il aime, c’est-à-dire l’obéissance filiale.
Dans le rite romain, les prières sont concises, mais riches de
signification: on peut faire beaucoup de belles méditations sur ces
prières! Si belles! En méditer
à nouveau les textes, même en dehors de la Messe, peut nous aider à
apprendre comment nous adresser à Dieu,
que demander, quelles paroles utiliser. Puisse la liturgie devenir
pour nous tous une véritable école de prière ». Catéchèse
du Pape François (3
& 10 /01/2018)
PAROISSE
- Répétition de la chorale paroissiale : mercredi 12 février à 20 h à la Bergerie - lundi 10 : répétition pour les hommes (les personnes qui souhaitent rejoindre la chorale sont les bienvenues)
- Conseil pour les affaires économiques : jeudi 13/02 à 20 h, salle St Jean
- Commission liturgique : vendredi 14/02 à 13h30
- Enseignement sur l’Eglise : Mgr Joly a donné 3 catéchèses sur l’Eglise. Puisqu’elles sont en vidéos, elles seront rediffusées le jeudi 13/2 à 14 h 30 et le vendredi 21/02 à 20 h 15 à la Bergerie. Séance ouverte à ceux et celles qui veulent approfondir leur foi, qui rendent un service paroissial, qui cherchent et se questionnent.
- Contribution Paroissiale : elle permet à la paroisse d’assumer les charges diverses et variées : salaires de la secrétaire-comptable, de la laïc en mission pour la catéchèse dans le doyenné, électricité, papiers….. Des enveloppes « Contribution paroissiale » sont à votre disposition à l’entrée des églises pour boucler le budget. Merci de votre générosité.
- Inauguration et bénédiction de l’orgue de Tinténiac : dimanche 8 mars.
Nouvelle
Traduction du Missel Romain [Après
la présentation des dons] « Revenu
au milieu de l’autel, tourné vers le peuple, étendant puis
joignant les mains, le prêtre dit : Priez,
frères et sœurs: que mon sacrifice, et le vôtre, soit agréable à
Dieu le Père tout-puissant. Le
peuple se lève et répond : R/ Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice à la
louange et à la gloire de son nom, pour notre bien et celui de toute
l’Église »