ANNONCES du 19 au 25 MAI 2019
SEMAINE LITURGIQUE
SAMEDI 18 mai : 18 h 00, Messe en l’église St Pierre St Paul (Québriac)
DIMANCHE 19 mai St Yves 5ème
dimanche de Pâques
10 h 30, Messe en
l’église de la Sainte Trinité
(Tinténiac)
Lundi 20
Mai St
Bernardin de Sienne Pr. (+1444)
• 18 h 00 : Chapelet en l’église de
la Sainte Trinité (Tinténiac)
• 18 h 30 : Messe en l’église de la
Sainte Trinité (Tinténiac)
Mardi 21
Mai St Christophe Magallanès, pr. et ses compagnons
martyrs du Mexique (1915-1937)
• 18 h 00 : Chapelet en l’église
Notre Dame (Hédé)
• 18h 30 : Messe en
l’église Notre Dame (Hédé)
Mercredi 22
Mai Ste
Rita de Cascia, Rel.
• 09 h 00 :
Messe
en l’église de la Sainte Trinité (Tinténiac)
09h30:
Chapelet pour les malades, les familles, les défunts, église de Tinténiac
Jeudi 23 Mai
• 09 h 00 : Messe en
l’église St Pierre Apôtre (La Chapelle Chaussée)
• 18h
00 : Office de Vêpres
en l’église Notre Dame de Hédé
Vendredi 24 Mai
•
16h 45 : Messe à l’EHPAD (Hédé)
• 18
h 30 : Messe en l’église St Pierre et St Paul (Québriac)
SAMEDI 25 mai : 18 h 00, Messe en l’église St Pierre Apôtre (La Chapelle Chaussée)
DIMANCHE 26 mai 6ème
dimanche de Pâques 10 h 30, Messe en
l’église de la Sainte Trinité
(Tinténiac)
« Souvenez-vous ô très
miséricordieuse Vierge Marie, Qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux
qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance ou réclamé vos
suffrages, ait été abandonné. Animé de cette confiance, ô Vierge des vierges, ô
ma mère, je viens vers vous, Et gémissant sous le poids de mes péchés, je me
prosterne à vos pieds. O Mère du Verbe incarné, ne méprisez pas mes prières, Mais
écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen ».
St Bernard de Clairvaux (1090-1153)
baba
« Il faut que nos
paroles soient enflammées, non par des cris et des actions démesurées mais par
l’affection intérieure. Il faut qu’elles sortent du cœur plus que de la bouche.
On a beau dire, mais le cœur parle au cœur (cor cordi loquitur), et la
langue ne parle qu’aux oreilles. »
Lettre de St François de Sales à l’archevêque de Bourges
À LA MONDIALISATION DE L’INDIFFERENCE, LE PAPE FRANÇOIS OPPOSE LA MONDIALISATION “COOPERATIVE”
« (…) Je voudrais avant tout répéter qu’un système économique mondial qui met au rebut hommes, femmes et enfants, parce qu’ils semblent ne plus être utiles selon les critères de rentabilité des entreprises ou d’autres organisations, est inacceptable, parce qu’inhumain.
Cette mise au rebut des personnes constitue précisément la régression et la déshumanisation de tout système politique et économique : ceux qui causent ou permettent le rejet des autres – réfugiés, enfants victimes d’abus ou esclavagisés, pauvres qui meurent dans la rue quand il fait froid – deviennent eux-mêmes des machines sans âme, acceptant implicitement le principe qu’eux aussi, tôt ou tard, seront écartés – cela est un boomerang ! Mais c’est la vérité : tôt ou tard, ils seront écartés – quand ils ne seront plus utiles à une société qui a mis au centre le dieu argent.
En 1991, saint Jean-Paul II, face à l’effondrement de systèmes politiques oppressifs et à l’intégration progressive des marchés que nous appelons désormais habituellement mondialisation, mettait en garde contre le risque que se répande partout l’idéologie capitaliste. Celle-ci aurait comporté une considération très faible ou nulle envers les phénomènes de la marginalisation, de l’exploitation et de l’aliénation humaine, ignorant les multitudes qui vivent encore dans des conditions de pauvreté matérielle et morale, et en confiait aveuglément la solution au seul libre développement des forces du marché. Mon prédécesseur, en se demandant si un tel système économique était le modèle à proposer à ceux qui cherchaient la voie du véritable progrès économique et social, parvint à une réponse clairement négative. Ce n’est pas la voie (cf. Centesimus annus, n. 42).
Malheureusement, les risques redoutés par saint Jean-Paul II se sont amplement réalisés. Cependant, dans le même temps, de nombreux efforts d’individus et d’institutions se sont développés pour apporter un remède aux maux produits par une mondialisation irresponsable. Mère Teresa de Calcutta (…) est un symbole et une icône de notre époque, représente et résume d’une certaine façon ces efforts. (…) Telle est la première attitude qui peut conduire à une mondialisation solidaire et coopérative. Il faut, avant tout, que chacun, personnellement, ne soit pas indifférent aux blessures des pauvres, mais apprenne à compatir avec ceux qui souffrent à cause des persécutions, de la solitude, du déplacement forcé ou de la séparation d’avec leur famille ; avec ceux qui n’ont pas accès aux soins de santé ; avec ceux qui souffrent de la faim, du froid ou de la chaleur.
Cette compassion aidera les agents économiques et politiques à utiliser leur intelligence et leurs ressources non seulement pour contrôler et surveiller les effets de la mondialisation, mais aussi pour aider les responsables dans les différents domaines politiques – régionaux, nationaux et internationaux – à en corriger l’orientation chaque fois que cela est nécessaire. La politique et l’économie, en effet, devraient comporter l’exercice de la vertu de la prudence.
L’Église est toujours confiante, parce qu’elle connaît les grands potentiels de l’intelligence humaine qui se laisse aider et guider par Dieu, ainsi que la bonne volonté des petits et des grands, des pauvres et des riches, des entrepreneurs et des travailleurs. C’est pourquoi je vous encourage à poursuivre votre engagement, toujours guidé par la doctrine sociale de l’Église, en promouvant une globalisation coopérative avec tous les acteurs concernés – société civile, gouvernements, organismes internationaux, communautés académiques et scientifiques et autres (…)» Extrait du discours du Pape François du 14/01/2017
Le Christ et l’Église, c’est tout un » Sainte Jeanne d’Arc
« Si je vous dis
: 1 + 1. Vous me répondez certainement : = 2. Mais dans cet évangile je viens
d’entendre Jésus dire : « Le Père et moi,
nous sommes UN » (Jn 10,30). Étrange équation qui va à l’encontre de mon
apprentissage du calcul appris à l’école primaire. Si je continue de compter
sur mes doigts, j’en compte 5. Pourtant nous n’avons qu’une seule main. Voilà
peut-être la réponse : nous n’avons qu’une seule main parce que les doigts sont
unis. Le Père et le Fils ne font qu’un parce qu’ils sont unis. Non pas par une
structure anatomique comme la main, mais par l’Amour. Dieu est Communion dans l’Amour. Mais en Dieu l’amour n’est pas un
sentiment, comme l’affection, la tendresse ou le désir. Le Christ nous a appris
ce qu’était l’amour. Il est le don total de soi : « Il n’y a pas de plus
grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime » (Jn 15,13). Le Père se
donne entièrement dans l’engendrement du Fils : « Le Père et moi, nous sommes UN ». Le Fils se donne entièrement
dans sa filiation en étant le Verbe qui exprime le Père : « Celui qui m’a vu, a vu le Père » (Jn 14,9). Ce Don qui manifeste
l’amour du Père et du Fils est l’Esprit Saint. Cet Amour est une personne divine parce que c’est la substance même de
Dieu que de se donner. Cet Esprit nous a été promis par le Christ : « Je
vous enverrai l’Esprit Saint d’auprès du Père » (Jn 15,26) car c’est dans le don
de soi-même par amour que nous entrons à notre tour dans la Communion divine et
dans cette Vie éternelle qui est constitutive de Dieu. C’est pourquoi Jésus
affirme dans cet évangile : « Mes brebis,
je leur donne la Vie éternelle » (Jn 10,28). Entrer dans cette Communion
d’amour est la vocation de tout baptisé, ceux que Jésus appelle ses brebis.
Cela est vrai dans toutes les formes de vie. Dans le mariage sacramentel où
l’homme et la femme « ne font qu’une
seule chair » unie en Dieu. Mais aussi, dans toute vie, même solitaire,
quand elle est ordonnée à l’offrande de soi par amour. Aujourd’hui nous
célébrons la journée des vocations sacerdotales et religieuses, toutes ces
formes de vie consacrée, où le don de sa
vie se fait par amour exclusif de Dieu pour servir tous ses frères humains. Il
ne s’agit pas d’une fuite du mariage, ni d’un mépris de l’union de l’homme et
de la femme. Nous l’avons bien entendu dans la grande prière de consécration
des vierges dimanche dernier : « C’est
l’Esprit Saint qui suscite au milieu de ton peuple des hommes et des femmes
conscients de la grandeur et de la sainteté du mariage et capables pourtant de
renoncer à cet état afin de s’attacher dès maintenant à la réalité qu’il
préfigure : l’union du Christ et de l’Église ». Car « le Christ et l’Église, c’est tout un » disait sainte Jeanne
d’Arc. Elle avait tout compris. C’est justement cette unité qui est signifiée
par le célibat pour le Royaume.
La consécration est le
signe mystérieux du plus grand amour qui ne peut venir que du Seigneur Jésus
lui-même. Les consacrés imitent le Seigneur dans sa façon de vivre pour
construire son Royaume et réaliser dès ici-bas les noces éternelles.
En vivant cette
communion, en la recevant de Dieu, nous savons que rien ne pourra nous arracher
de la main de Jésus. C’est la prière que le prêtre dit dans le fond de son cœur
juste avant de communier : « Seigneur
Jésus, fais que jamais je ne sois séparé de toi ». + Michel Aupetit,
archevêque de Paris. Homélie du 12 mai 2019
PAROISSE
ð
« Week-end
TIM » pour les Jeunes de profession de Foi :
18 et 19 mai à St Malo
ð Groupe de Prière
« Renouveau » : mardi 21 mai à 18h30 à la Bergerie
ð
Préparation
au baptême : mardi 21 mai de 20 h à 22 h 00
ð Répétition
chorale : mercredi 22 mai à 20 h 00, à la Bergerie
ð
éveil a la foi : mercredi 22 mai à 16 h 00
ð Réunion Parents
1ères des communions et de profession de foi : jeudi
23 mai à 20h30 à la bergerie
ð
« Week-end CAP » pour les 5ème 4ème
3ème : 25 et 26 mai à St Malo
Restauration de
l’orgue de Tinténiac : celui-ci avait grand
besoin d’un « relevage ». Nous sommes à 93 % du budget total. Merci
aux généreux donateurs !
DIOCESE de RENNES, DOL & SAINT MALO
De la lettre Pastorale
« La
fraternité d’une communauté chrétienne, qu’elle soit paroissiale ou autre,
trouve une aide considérable dans les petites communautés fraternelles de
religieuses ou de religieux. Leur joie fraternelle est communicative. Dieu en
soit béni!
Soyons lucides: vivre de façon
fraternelle est un choix. Le pape François nous exhorte à ne «
jamais nous lasser de choisir la fraternité » (n. 91). Cela demande patience et
constance, comme l’expose une proposition: « Toujours saisir l’occasion pour
établir des contacts avec les autres… sourire… bonjour… un petit mot gentil, et
peu à peu, à la longue, au fil des rencontres, l’esprit de fraternité va venir
doucement, s’agrandir… s’approfondir… » (…) L’Église a la belle mission de
favoriser la rencontre entre les personnes de telle sorte qu’elles se parlent,
se connaissent, se reconnaissent et se délivrent ainsi de l’agressivité tapie
dans le cœur. La convivialité est
nécessaire, d’autant plus que l’individualisme imprègne notre société et
que la solitude due à l’isolement ne cesse de gagner du terrain en semant dans
les cœurs dureté et rancœur ».
Eglise Catholique en
France
« La
collecte évoquée (le fameux « milliard ») n’est consolidée par aucune
fondation, aucune autorité. S’il n’y aura probablement pas de remise en
question des dons les plus importants promis par des mécènes de renom qui se
sont publiquement engagés, il n’en demeure pas moins que la majeure partie de
ces dons n’ont pas encore été concrétisés.» Mgr Aupetit
Il
est possible de faire un don pour la rénovation de Notre-Dame de Paris :
-
Par chèque à l’ordre de « Fonds Cathédrale Notre-Dame de Paris ».
À
adresser à : Fondation Notre Dame – 10 rue du Cloître Notre-Dame – 75004 Paris
-
Par carte bancaire sur la page de la Fondation Notre Dame.
Propositions de lecture : Les
indispensables
Youcat : catéchisme de l'Eglise catholique
pour les jeunes et adultes (14 €)
Youcat pour les enfants : catéchisme de l'Eglise catholique pour les enfants (16, 90€)